La loi de modernisation sociale souhaitée par le législateur introduit des notions qui sont vécues de manière plus ou moins optimiste par les personnes concernées (industriels, collectivités).
Cette démarche est différente de celle du document unique sur le facteur temps (durée d’exposition) et sur la gravité (niveau d’exposition), même si ces 2 démarches doivent cohabitées.
Les 10 facteurs actuellement retenus évolueront très certainement dans le temps et notamment en fonction du niveau de connaissance scientifique ou des pathologies déclarées.
L’appréciation du risque passe souvent par une mesure d’exposition aux postes de travail, elle peut être corrélée avec la mise en place de traceurs biologiques ou physiologiques.
Suivant la taille des entreprises, cette démarche doit être présentée et négociée avec les instances représentatives du personnel. Elle passe très souvent par un partenariat étroit avec le médecin du travail.
Cette démarche s’inscrit dans une volonté affirmée d’amélioration des conditions de travail et de stabilisation des effectifs dans l’entreprise.
Le résultat d’une inaction est plus compliquée à gérer car les conséquences peuvent devenir très traumatisantes et irréversibles, cas de certaines maladies professionnelles telles que l’amiante.
Dans ce contexte, la connaissance du risque prime sur la méconnaissance ou pire encore sur l’ignorance.
Si vous vous reconnaissez dans ces propos, c’est que nous avons la même vision des choses, cela signifie que vos besoins sont déjà compris sur le fond. Nous n’avons plus qu’à décider ensemble de la forme de notre partenariat …
